Un titre brut et incandescent
« Resurrection » s’impose comme un choc sonore : une rythmique martiale et industrielle, traversée de synthés rave et de chants tribaux lointains. À la croisée de l’EBM, de l’electronica et de la techno, le morceau déploie une esthétique sans concession, brutale et hypnotique. Scratch Massive confirme ici son goût pour les zones troubles, entre club pop et cinéma, où la tension émotionnelle devient matière sonore.
Un duo au parcours singulier
Formé par Maud Geffray et Sébastien Chenut, Scratch Massive explore depuis plus de vingt ans les frontières de la musique électronique. Leur univers, sensuel et glacé, puise dans la cold-wave, les bandes originales des années 80 et une esthétique visuelle forte. Avec « Resurrection », ils prolongent cette œuvre magnétique, où mélancolie et pulsations hypnotiques s’entrelacent.
Vers une nouvelle ère
Ce single n’est pas qu’un retour : il annonce une nouvelle étape pour le duo. Scratch Massive sera en concert exceptionnel à l’Olympia le 13 février 2026, prélude à un nouvel album attendu au premier trimestre 2027. Une plongée immersive dans leur univers nocturne et introspectif, que les amateurs de musiques électroniques ne voudront pas manquer.
Une résurrection électro vous attend… Olympia, Paris – 13/02/2026
Written and composed by Scratch Massive Additional productions by Zamilska (c) bORDEL Records
Analyse esthétique et visuelle
Palette visuelle : dominée par des tons froids et métalliques, renforçant l’impression de noirceur et de tension.
Mise en scène : alternance de plans abstraits et de silhouettes, créant une narration fragmentée qui colle à la structure répétitive et martiale du morceau.
Énergie visuelle : les images semblent se construire comme une pulsation, en écho direct aux beats techno et aux textures industrielles.
Ce clip agit comme une extension sensorielle du morceau, où le visuel ne raconte pas une histoire linéaire mais immerge l’auditeur dans une expérience totale. Scratch Massive et Zamilska y affirment une esthétique radicale, qui s’inscrit dans une tradition électronique underground tout en visant une intensité quasi cinématographique.