📸 Conférence : Gisèle Freund et la photographie au XIXe siècle
			 La commune de Creysse vous invite à une conférence exceptionnelle autour de l’œuvre fondatrice de Gisèle Freund, La photographie en France au XIXème siècle, présentée par Gabrielle Andries-Roussel, historienne spécialisée dans l’histoire de la photographie.
🗓 Vendredi 7 novembre à 18h 📍 Salle du Moulin du Bourg – Creysse
   À travers cette rencontre, * Gabrielle Andries-Roussel reviendra sur le tout premier ouvrage de Gisèle Freund, soulignant la modernité et la portée durable de son approche critique et sociologique de la photographie. L’événement sera également l’occasion d’admirer la couverture de l’édition originale ainsi que l’autoportrait emblématique de l’autrice au Rolleiflex, réalisé en 1952.
🥂 La conférence se clôturera par un verre de l’amitié, offert par la Mairie de Creysse.
🎟 Entrée libre sur réservation 📞 Réservez au 06 76 36 93 00 ⏱ Durée estimée : 1h
					 L’ouvrage La photographie en France au XIXe siècle de Gisèle Freund est bien plus qu’une simple étude historique : c’est une analyse sociologique et esthétique qui éclaire les liens profonds entre l’évolution de la photographie et celle de la société bourgeoise française. 
   
   
📚 Une thèse fondatrice Initialement rédigée comme thèse de doctorat en Allemagne, puis publiée en France en 1936 grâce à Adrienne Monnier, cette œuvre marque les débuts intellectuels de Gisèle Freund. Elle y examine la photographie comme un outil de reproduction qui a révolutionné la représentation du portrait, tout en révélant les dynamiques sociales de son époque.
   
   
🔍 Une approche novatrice Freund ne se contente pas d’un regard technique ou artistique : elle adopte une démarche critique, influencée par ses études en sociologie auprès de penseurs comme Karl Mannheim et Norbert Elias. Elle démontre comment la photographie, en se démocratisant, devient un miroir de la société bourgeoise, révélant ses aspirations, ses codes et ses contradictions.
   
   
🖼️ Le portrait comme révélateur social Au XIXe siècle, le portrait photographique devient un phénomène de masse. Freund analyse cette évolution comme le passage d’un artisanat élitiste à une industrie culturelle, où l’image devient un vecteur de reconnaissance sociale. Elle souligne également le rôle des femmes dans cette transformation, tant comme sujet que comme praticiennes de la photographie.
   
   
📸 Un regard toujours actuel L’œuvre de Gisèle Freund conserve aujourd’hui une portée durable. Elle anticipe les débats contemporains sur l’image, la représentation et les médias. Son autoportrait au Rolleiflex (1952), emblématique, incarne cette fusion entre engagement intellectuel et pratique artistique.
   
   
La conférence animée par Gabrielle Andries-Roussel à Creysse permettra de redécouvrir cette œuvre essentielle, en soulignant sa modernité et sa pertinence dans notre compréhension actuelle de l’image et de la société.
			 📚 Une thèse fondatrice Initialement rédigée comme thèse de doctorat en Allemagne, puis publiée en France en 1936 grâce à Adrienne Monnier, cette œuvre marque les débuts intellectuels de Gisèle Freund. Elle y examine la photographie comme un outil de reproduction qui a révolutionné la représentation du portrait, tout en révélant les dynamiques sociales de son époque.
🔍 Une approche novatrice Freund ne se contente pas d’un regard technique ou artistique : elle adopte une démarche critique, influencée par ses études en sociologie auprès de penseurs comme Karl Mannheim et Norbert Elias. Elle démontre comment la photographie, en se démocratisant, devient un miroir de la société bourgeoise, révélant ses aspirations, ses codes et ses contradictions.
🖼️ Le portrait comme révélateur social Au XIXe siècle, le portrait photographique devient un phénomène de masse. Freund analyse cette évolution comme le passage d’un artisanat élitiste à une industrie culturelle, où l’image devient un vecteur de reconnaissance sociale. Elle souligne également le rôle des femmes dans cette transformation, tant comme sujet que comme praticiennes de la photographie.
📸 Un regard toujours actuel L’œuvre de Gisèle Freund conserve aujourd’hui une portée durable. Elle anticipe les débats contemporains sur l’image, la représentation et les médias. Son autoportrait au Rolleiflex (1952), emblématique, incarne cette fusion entre engagement intellectuel et pratique artistique.
La conférence animée par Gabrielle Andries-Roussel à Creysse permettra de redécouvrir cette œuvre essentielle, en soulignant sa modernité et sa pertinence dans notre compréhension actuelle de l’image et de la société.
* Gabrielle Andries-Roussel Historienne de la photographie, Gabrielle Andries-Roussel explore les liens entre image, mémoire et société. Spécialiste du XIXe siècle, elle s’intéresse particulièrement aux usages sociaux de la photographie et à la manière dont celle-ci façonne notre rapport au réel.
Elle est co-autrice de La fabrique photographique des paysages et intervient régulièrement dans des conférences et festivals culturels.
Son approche mêle histoire de l’art, sociologie visuelle et valorisation du patrimoine, avec une attention particulière portée aux femmes photographes et aux pratiques émergentes.

 
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