Un jeu de mort sous les projecteurs
Dans un futur proche où la télévision est devenue le théâtre de la cruauté, Running Man s’impose comme l’émission numéro un : un jeu de survie où les candidats, appelés les Runners, doivent échapper pendant 30 jours à des tueurs professionnels. Chaque jour gagné augmente la récompense… et l’adrénaline.
Ben Richards (Glen Powell), ouvrier désespéré, accepte de participer pour sauver sa fille gravement malade. Manipulé par le producteur Dan Killian (Josh Brolin), il devient malgré lui le héros d’un peuple accro à le voir tomber. Mais sa rage de vivre et son instinct vont bouleverser les règles du jeu.
Edgar Wright revisite Stephen King
Adapté du roman The Running Man écrit par Stephen King sous le pseudonyme Richard Bachman, le film marque un tournant dans la carrière d’Edgar Wright (Baby Driver, Last Night in Soho). Contrairement à la version de 1987 avec Schwarzenegger, cette nouvelle adaptation conserve la trame originale du roman et en accentue la critique sociale : la télé-réalité comme nouveau Colisée, où le spectacle de la souffrance devient norme.
Glen Powell, nouveau visage de l’action
Pour convaincre Stephen King, Edgar Wright a misé sur Hit Man de Richard Linklater, révélant la palette dramatique de Glen Powell. Le comédien incarne un Ben Richards intense, physique, mais aussi vulnérable. À ses côtés, Emilia Jones et William H. Macy enrichissent un casting solide, porté par des scènes d’action spectaculaires et une tension constante.

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